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Sauter dans l’action comme surintendant de navire

Journal de bord

Sauter dans l’action comme surintendant de navire

Lorsqu’on s’intéresse aux métiers du domaine maritime, les possibilités sont innombrables, autant en mer qu’à terre.



Pour Alexandre, c’est le métier de surintendant de navire qui l’a interpellé. Après 10 ans passés à travailler dans les mines, l’intérêt pour l’industrie maritime s’est fait de plus en plus grand et aujourd’hui, il s’assure que chaque navire qui arrive au port soit chargé et déchargé de façon optimale.

Découvrez son quotidien et laissez-vous inspirer par son histoire.

Normalement, comme j’habite très près du port, j’ai la chance de pouvoir me réveiller seulement 30 minutes avant mon quart de travail. Mais aujourd’hui est une exception.

Je ne sais pas si nous avons établi de nouveaux records, mais cette semaine, nous avons eu plusieurs navires à gérer. Et je dois avouer que ça fait du bien et que c’est excitant! Les derniers jours ont été bien remplis et je veux m’assurer de bien terminer ma semaine. Je me lève donc 1h30 avant de débuter mon quart de travail. Comme ça, je peux prendre le temps de bien manger, de boire un bon café et de faire un long détour sur ma moto avant de débuter la journée.

7h30 - j’arrive au port. Si mon feeling est bon, le navire qui se trouve là n’est pas encore totalement déchargé, mais le travail est presque terminé. Je rencontre donc le surintendant qui était sur le quart précédent, puis je fais le meeting habituel de début de quart avec les débardeurs sur place pour résumer les opérations de la journée et finaliser le déchargement avec l’équipe en place. Tout se déroule parfaitement et le temps passe rapidement.

Vers 13h00, après une pause d’une heure bien méritée, c’est au tour d’un autre navire de faire son entrée. Je vais rencontrer le chef officier du bateau pour s’entendre sur un plan de chargement, je vérifie que tous les débardeurs sont bien au point de rendez-vous et nous lançons les opérations. Pendant le chargement, je m’assure de maximiser l’optimisation des séquences et des opérations avec les débardeurs. On garantit ainsi de bien faire notre travail, de la façon la plus rapide et efficace possible, tout en respectant l’environnement, la santé et la sécurité de tous.

Ça peut sembler routinier, mais au contraire : chaque navire représente un nouveau défi en raison, entre autres, des nombreuses particularités des navires et du cargo. Et je ne vois pas encore le jour où je serai tanné de faire ça jour après jour.

J’ai la chance de travailler pour une entreprise incroyable. Chez QSL, l’humain est mis de l’avant et la qualité des gens qui y travaillent nous permet d’évoluer dans un environnement stimulant et gratifiant.

Déjà 16h00 : après une autre journée bien chargée, je remplis mon rapport journalier et j’ai encore une fois ce sentiment de fierté et du devoir accompli.

Et même si j’adore mon métier et les gens avec qui je travaille, c’est toujours plaisant de terminer sa semaine. Maintenant, je peux savourer quelques jours de congé et aller profiter du beau temps au chalet.

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